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  • Taverny : Inauguration de l'AquaVal - Centre aquatique Alice-Milliat

    Ce samedi, Madame la députée Cécile RILHAC était présente à Taverny pour l’inauguration du Centre aquatique Alice-Milliat, en présence, notamment, de Madame le Maire de Taverny Florence PORTELLI, de Monsieur le Président du Val Parisis Yannick BOËDEC, de la Présidente du Département du Val-d’Oise Madame Marie-Christine CAVECCHI, de Madame la Maire de Saint-Leu-la-Forêt Sandra BILLET et de Madame la Présidente du Conseil régional d'Île-de-France, Valérie PÉCRESSE. Ouvert au public, aux clubs et aux scolaires depuis le 13 mai dernier, il est doté d'un bassin olympique de 50 mètres de 10 couloirs, d'un bassin d'entraînement de 25 mètres de 6 couloirs, d'une fosse à plongeon de 1, 3 et 5 m, d'un solarium, d'un espace balnéo et de 4 salles de fitness. Ce centre est notamment homologué pour la natation sportive, le water-polo et la natation artistique et accueillera notamment le club de water-polo de Taverny (Taverny SN 95) pour son retour dans la division Élite. Pour le grand public, cette piscine adaptée aux personnes en situation de handicap offrira de multiples équipements et activités pour tous les âges. Labellisée Centre de Préparation aux Jeux de Paris 2024, cette piscine accueillera des athlètes des délégations internationales dans les prochains jours, avant le lancement des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris.

  • Taverny : inauguration des aménagements paysagers du Bois des Aulnaies

    Aujourd’hui, Cécile RILHAC se rendait à Taverny pour l’inauguration des aménagements paysagers du Bois des Aulnaies, en présence, notamment, de Madame le Maire de Taverny Florence PORTELLI, de Monsieur le Président du Val Parisis Yannick BOËDEC, de la Présidente du Département du Val-d’Oise Madame Marie-Christine CAVECCHI, du Maire du Plessis-Bouchard Monsieur Gérard LAMBERT-MOTTE, de Madame la Présidente d’Île-de-France Nature Sophie DESCHIENS et de Madame la Maire de Saint-Leu-la-Forêt Sandra BILLET. Le Bois des Aulnaies est situé au sein de l’Espace naturel régional de Boissy. Cet espace naturel, composé du bois de Boissy, du bois des Aulnaies et de la plaine agricole du Plessis-Bouchard, est un maillon essentiel de la liaison verte entre la forêt de Montmorency au Nord et les Buttes du Parisis au Sud. Il représente un véritable poumon vert pour notre circonscription. Avec le soutien des collectivités locales, Île-de-France Nature a engagé des travaux d’aménagement au sein du Bois des Aulnaies afin de matérialiser les entrées et de formaliser les cheminements pour améliorer le confort des usagers ; le tout en garantissant la régénération naturelle de ce Bois. Les cheminements ont d’ailleurs été conçus avec des matériaux recyclés, notamment fournis par l’entreprise pierrelaysienne PETITDIDIER Environnement. Ce beau projet permet de valoriser nos espaces verts et d’offrir aux habitants de notre circonscription des aménagements de qualité pour l’amélioration de leur cadre de vie !

  • Bessancourt : 12ème "BADBCTOUR" avec le Badminton Club Bessancourtois

    Ce dimanche, en fin de journée, Madame la députée s’est rendue à Bessancourt, pour la 12ème édition du « BADBCTOUR », une compétition de badminton entièrement organisée par le Badminton Club Bessancourtois. Comme chaque année, ce tournoi a rencontré beaucoup de succès, avec un grand nombre de joueuses et de joueurs présents sur les journées de samedi et dimanche. Madame Cécile RILHAC a eu l’honneur de participer à la remise des récompenses, aux côtés des élus municipaux Madame Vanessa BOURDAIS et Monsieur Jean-Pierre GAFFEZ. La députée félicite l’ensemble des participants, spécialement celles et ceux de notre circonscription, qui comme toujours nous ont dignement représenté ! Un grand bravo au Badminton Club Bessancourtois pour l’organisation de ce tournoi et merci au Président Pascal MOISSERON pour son invitation. Nos associations sportives sont toutes exceptionnelles, elles font un travail remarquable pour faire vivre le sport sur notre circonscription !

  • Souveraineté agricole : l’Assemblée nationale vote pour le projet de loi d’orientation

    Ce mardi soir, les députés ont voté en faveur du projet de loi d'orientation pour la souveraineté agricole et le renouvellement des générations en agriculture, en première lecture, par 272 voix pour et 232 voix contre. Madame Cécile RILHAC a voté pour ce projet de loi. Éléments de contexte La France est le 6ème exportateur mondial de produits agro-alimentaires, et le premier pays producteur agricole en Europe, avec 17 % de la production européenne, devant l’Allemagne et l’Italie. En 2022, les exportations ont progressé de 36 % mais les importations ont, dans le même temps, augmenté de 12 %, notamment en fruits et légumes. L’enjeu du renouvellement des générations et de l’attractivité du métier En 2020, la France compte 389 800 exploitations agricoles pour une superficie de 27 millions d’hectares, soit la moitié de la superficie totale du territoire. En 10 ans, plus de 100 000 exploitations agricoles ont disparu, et un tiers des agriculteurs partiront à la retraite au cours de la décennie à venir. Aujourd’hui déjà, certains peinent à trouver des repreneurs, posant la question du revenu des agriculteurs et plus largement de la politique à conduire pour accompagner cette transition, notamment en matière de formation et de soutien à l’installation, dans un contexte où les exigences sociétales en matière d’alimentation sont fortes (environnementales, de sécurité sanitaire, de bien-être animal) et où, paradoxalement, la part du revenu consacré à l’alimentation reste contenue. En effet, là où les deux-tiers des revenus des Français allaient vers l’alimentation il y a deux siècles, ce chiffre est de 12 % aujourd’hui, et seulement de 2 à 3 % qui revient directement aux agriculteurs. Près de 20 % des agriculteurs français ont déclaré un revenu nul, voire un déficit de leur exploitation en 2017 selon l’INSEE, alors que c’est l’une des professions où l’on travaille le plus. De toutes les catégories sociales, les exploitants agricoles ont la mortalité par suicide la plus élevé. L’enjeu de la transition agroécologique L’agriculture est le deuxième poste d’émissions de gaz à effet de serre : 19 % du total national en 2019. Ces émissions sont à mettre en regard avec les capacités de stockage du carbone (prairies, forêts, agro-foresterie) de l’agriculture. Ce potentiel de stockage peut être accru en favorisant les pratiques bénéfiques (haies, agroforesterie, cultures intermédiaires). Les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture ont diminué de 8 % entre 1990 et 2019 contre 20 % de baisse tous secteurs confondus sur la même période. On rappellera que l’objectif général de réduction des GES est de 50 % à horizon 2050. Le Gouvernement et la majorité en soutien aux agriculteurs, avec… un plan de résilience de 639 millions d’euros pour faire face aux conséquences de la guerre en Ukraine ; des aides conjoncturelles pour faire face au gel, à la grêle et à la sécheresse, conséquences des aléas climatiques survenus en 2022 (près de 300 millions d’euros au total) ; l’entrée en vigueur de l’assurance récolte au 1er janvier 2023 avec un soutien pouvant atteindre 680 millions d’euros ; le déploiement du Varenne agricole de l'eau et du changement climatique et notamment le déploiement d'un plan d'aide aux agroéquipements doté de 120 millions d’euros ; des plans de soutien sectoriels (1,2 milliards d’euros pour faire face à la crise d’influenza aviaire ; une première aide de 80 millions d’euros pour la filière viti-vinicole ; un accompagnement de la filière betterave en cas de jaunisse en 2023, et un soutien à la recherche d’alternatives aux néonicotinoïdes). 4 milliards d’euros d’investissement, dans le cadre de France Relance et de France 2030, pour développer une agriculture moderne et innovante, et pour penser les filières agricoles de demain. Le mouvement des agriculteurs janvier-février 2024 Dans un contexte de salon de l’Agriculture et à la veille des élections européennes de juin 2024, les agriculteurs ont exprimé leur colère et leurs revendications face à la baisse de leurs revenus, à la hausse des charges, à la concurrence déloyale permise par les accords de libre-échange, à l'empilement des normes lié à une réglementation trop complexe, à la fiscalité, à certains aspects de la réglementation européenne en matière d'agriculture et aux contrôles de l'administration française. Ils ont demandé au Gouvernement des mesures concrètes et rapides. L’essentiel du projet de loi Annoncé par le Président de la République, le projet de loi d'orientation pour la souveraineté agricole et le renouvellement des générations en agriculture a été présenté le mercredi 3 avril en Conseil des ministres. Il vise à préserver la souveraineté agricole et alimentaire de la France, en donnant à notre agriculture les moyens de relever les défis du renouvellement des générations en agriculture et des transitions imposées par le changement climatique et la crise environnementale, ainsi qu’en simplifiant et sécurisant l’exercice de l’activité agricole. Le projet de loi s’inscrit dans un contexte géopolitique appelant à la nécessité de consolider notre sécurité alimentaire française et européenne et d’ériger cet impératif, comme l’une des priorités stratégiques de nos politiques publiques. Face aux deux défis prioritaires identifiés par le texte, que sont le renouvellement des générations et les transitions agroécologiques et climatiques, les objectifs du projet de loi répartis en plusieurs grands axes (et en 19 articles) : Affirmation du caractère d’intérêt général majeur de l’agriculture, de la pêche et de l’aquaculture, qui garantissent la souveraineté alimentaire de la Nation ; Formation d’une nouvelle génération d’agriculteurs, avec : la mise en place d’un programme national d’orientation et de découverte des métiers de l’agriculture et de l’agroalimentaire (actions systématiques de découverte de l’agriculture en école élémentaire, offres de stages immersifs au collège et au lycée, promotion des métiers du vivant et des formations qui y préparent) la création d’un « Bachelor Agro », diplôme bac+3, pour permettre aux futurs professionnels des secteurs agricole et agroalimentaire d’accroître leurs compétences ; la formation en 3 ans de 50 000 professionnels de l’enseignement, du conseil, et de l’administration, sur les actions et solutions en faveur des transitions agroécologique et climatique, pour créer les conditions d’un véritable « choc de compétences » pour les secteurs agricoles et agroalimentaires. Donner un nouveau souffle à notre politique d’installation et de transmission : en prévoyant l’accompagnement individualisé de chaque personne qui souhaite s’installer ou travailler en agriculture ou céder une exploitation avec l’instauration du réseau « France services agriculture », qui sera pensé dans une logique de rationalisation et simplification des parcours ; en prévoyant la mise en place d’outils de diagnostic et d’accompagnement qui permettront une évaluation des exploitations à la transmission, à l’installation et tout au long de leur cycle de vie, que ce soit sur le plan économique, social, écologique ou climatique ; en créant des groupements fonciers agricoles d’investissement, outils de portage du foncier qui doivent permettre d’attirer, de manière maîtrisée et sécurisée, de nouveaux capitaux pour l’agriculture. Sécuriser et simplifier le cadre de l’exercice de l’activité agricole, avec : l’adaptation du régime de répression des atteintes au droit de l’environnement, avec des procédures et des peines allégées ; la réduction des délais de recours contentieux contre les projets agricoles et ouvrages hydrauliques, avec l’adaptation de différentes procédures (présomption d’urgence, régularisation des vices de procédure, entre autres) permettant aux agriculteurs une visibilité plus rapide sur la conformité de leur projet au droit la simplification et l’unification du régime applicable aux haies.

  • Prise en charge des traitements liés au cancer du sein : l’Assemblée nationale vote une proposition de loi à l’unanimité

    Ce jeudi soir, l’Assemblée nationale a voté, à l’unanimité, en faveur de la proposition de loi visant la prise en charge intégrale des traitements liés au cancer du sein par l’assurance maladie, en première lecture. Madame RILHAC, qui a déjà organisé plusieurs réunions publiques sur la sensibilisation au cancer du sein, salue ce résultat. Parmi les cancers, le cancer du sein occupe une place spécifique : les femmes représentent 99% des cas ; 700 000 femmes en France vivent avec un cancer du sein actif ou en surveillance ; une femme sur huit aura cette maladie ; l'incidence de la maladie augmente, avec 60 000 cas chaque année ; il s'agit du cancer féminin le plus meurtrier (plus de 12 000 décès chaque année). Si le cancer du sein est reconnu comme affection longue durée (ALD), permettant une prise en charge à 100% des traitements (chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie, chirurgie...), les patientes restent confrontées à un reste à charge, plus ou moins élevé en fonction de leur complémentaire santé. Ces restes à charge, lors du parcours de soins et post‑cancer, concernent les franchises médicales, le forfait hospitalier, l'achat de dispositifs médicaux ou produits de santé prescrits dans le cadre du traitement (renouvellement de la prothèse mammaire, perruque...) ou encore les frais engagés pour les soins de support (crèmes, vernis, activité physique adaptée, consultations de diététique, suivi psychologique...). Les patientes doivent aussi supporter des dépassements d'honoraires, lorsqu'elles consultent des professionnels du secteur privé (secteur 2), notamment pour une chirurgie de reconstruction mammaire, faute d'une offre de soins suffisante à l'hôpital public. 15% des femmes renoncent à cette chirurgie de réparation pour des raisons financières. L'objet de la proposition de loi est donc de permettre une prise en charge intégrale des dépenses liées au traitement du cancer du sein afin d'améliorer la qualité de vie des malades, leurs chances de guérison et de se reconstruire après le cancer. L'essentiel de la proposition de loi Le texte permettra de dispenser les personnes traitées pour un cancer du sein : du forfait journalier hospitalier, non couvert par l'exonération du ticket modérateur et restant dû par les bénéficiaires d'une ALD ; du forfait urgences pour les consultations aux urgences qui ne donnent pas lieu à une hospitalisation, exigible auprès de tous les patients depuis le 1er janvier 2022 ; de la participation forfaitaire pour les consultations médicales et les examens et analyses réalisées en ville ; de la franchise médicale sur les médicaments remboursés, les actes effectués par un auxiliaire médical, les transports sanitaires et certaines prestations des pharmacies. Ces dispenses s'appliqueront pendant le traitement et à l'occasion des soins consécutifs au cancer ou du parcours de soins global à la fin du traitement. Le texte initial prévoyait également une prise en charge complète des dépassements d'honoraires par l'assurance maladie. Toutefois, cette disposition a été supprimée par amendement par les députés. À la place, ils ont ajouté un article dans le code de la santé publique, qui précise qu'une attention particulière est accordée à la maîtrise des dépassements d'honoraires dans le cadre de la prise en charge des ALD, notamment du cancer du sein, lors des négociations conventionnelles entre l'assurance maladie et les médecins. Par ailleurs, la proposition de loi prévoit un remboursement intégral par l'assurance maladie des soins et des dispositifs prescrits dans leur cadre du traitement du cancer du sein ou postérieurement, notamment des prothèses capillaires, du renouvellement des prothèses mammaires et des soins de support. Ces soins seront définis par décret. Sur amendement des députés, la patiente devra être informée par son oncologue, avant le début du traitement, des soins de support accessibles dans sa région. Dans les six mois suivant la promulgation de la loi, le Gouvernement devra remettre au Parlement trois rapports sur : l'instauration d'une prise en charge intégrale des soutiens-gorge ou brassières et de maillots de bain adaptés au port des prothèses mammaires amovibles ; le versement d’une indemnité de garde d’enfant pour les mamans malades du cancer du sein ; le coût du cancer du sein et la perte de revenus qu’il engendre pour les femmes auto-entrepreneuses. Le Sénat doit à présent examiner la proposition de loi.

  • Fin de vie : visite du service de soins palliatifs du Centre hospitalier Victor DUPOUY

    Ce jeudi après-midi, Madame la députée Cécile RILHAC s'est rendue au centre hospitalier Victor DUPOUY à Argenteuil, afin de rencontrer l'équipe du service de soins palliatifs et douleurs chroniques. Le 10 avril dernier, le Gouvernement a déposé à l'Assemblée nationale le projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie, faisant suite aux travaux de la Convention citoyenne sur cette thématique. Pour l'examen de ce projet de loi important, une commission spéciale a été créée, composée de députés de tous bords et de toutes commissions, dont Madame la députée Cécile RILHAC est membre. En ce sens, la députée a souhaité venir rencontrer et échanger directement, sur le terrain, avec les équipes de l'unité d'Argenteuil pour confronter le projet de loi tel qu'il est aujourd'hui rédigé à l'avis des professionnels de santé. Durant cette visite, Madame RILHAC a ainsi pu échanger avec Monsieur Michel DENIS, Chef de service, mais aussi avec l'ensemble des médecins, infirmiers et psychologues de l'unité de soins palliatifs. Les échanges riches et sincères sur ce sujet fondamental pour notre société ont permis de compléter les travaux de la députée, avec une meilleure connaissance des enjeux et conséquences de ce projet de loi pour les professionnels de santé qui seront chargés de le mettre en œuvre. Madame Cécile RILHAC remercie le docteur Denis Michel et ses équipes pour leur accueil chaleureux et tient à souligner le travail exceptionnel réalisé par les unités de soins palliatifs pour accompagner au mieux et avec humanité la fin de la vie de nos concitoyens.

  • Montigny-lès-Cormeilles : cérémonie de passation au centre d’incendie et de secours

    Ce samedi matin, en présence de Monsieur le Sous-préfet d'Argenteuil, Cyril ALAVOINE, de Monsieur le Sénateur Pierre BAROS, de Monsieur le Maire de Montigny-lès-Cormeilles, Jean-Noël CARPENTIER, de Monsieur le Président du Conseil d'administration du SDIS 95, Luc STREHAIANO et de Monsieur le Contrôleur général, Directeur du SDIS 95, Laurent CHAVILLON, Madame la députée Cécile RILHAC participait à la cérémonie de passation de commandement au Centre d’incendie et de secours de Montigny-lès-Cormeilles Après 8 ans à la tête du Centre d'incendie et de secours de Montigny-lès-Cormeilles, le lieutenant LACROIX quitte ses fonctions et sera relevé par le lieutenant ROUILLARD. Madame RILHAC adresse ses sincères remerciements au lieutenant LACROIX pour ses années de service sur notre circonscription pour assurer la sécurité de nos concitoyens. Elle souhaite au Lieutenant ROUILLARD une excellente prise de fonction et lui assure ses vœux de réussite dans ses nouvelles fonctions.

  • Lutte contre le harcèlement à l'école : Cécile RILHAC organise une réunion publique à Herblay-sur-Seine

    Ce jeudi soir, Madame RILHAC organisait, à Herblay-sur-Seine, une réunion publique consacrée au combat contre le harcèlement à l'école. Si le harcèlement est un fléau national, notre circonscription a été particulièrement touchée par le cas de la jeune Evaëlle, à laquelle la députée a tenu à rendre hommage. Sans tabou, cette réunion avait pour objectif de présenter les différentes actions votées par le législateur et mises en place par l'Éducation nationale pour répondre aux situations de harcèlement, tout en mettant en avant le travail des associations qui accompagnent les victimes et se battent au quotidien pour libérer la parole et faire bouger les lignes. À cette occasion, plusieurs intervenantes et intervenants étaient présents pour échanger autour de ce sujet : Monsieur Christophe CHAMPEAUX, Conseiller Technique " Établissements et Vie Scolaire " au sein de la Direction de services départementaux de l'Éducation nationale du Val-d’Oise Madame Lucie PITIOT, Proviseure de la cité scolaire Villon à Paris Monsieur Nathan SMADJA, Président-Fondateur de l'association Résiste Monsieur Paul AÏSS, Président fondateur de l'association Jeune & Engagé et Juge-Assesseur au tribunal pour enfants de Pontoise Monsieur Philippe ROULEAU, Maire de Herblay-sur-Seine et Monsieur Philippe AUDEBERT, Maire de La Frette-sur-Seine étaient également présents à cette réunion publique. Depuis plusieurs années, la lutte contre le harcèlement scolaire est une priorité du Président de la République et de la majorité parlementaire. De nombreux leviers ont été mobilisés pour apporter des réponses concrètes au plus proche du terrain. Dès 2021, la mise en place progressive dans les établissements scolaires du plan pHARe a permis la formation d’une communauté protectrice autour des élèves, avec la rédaction et la mise en œuvre d’un protocole de prise en charge de ces situations et des heures d’apprentissages dédiées à la prévention du harcèlement dans les classes. Sur le plan législatif, l’adoption en 2022 de la proposition de loi visant à combattre le harcèlement scolaire a apporté une seconde pierre, avec des mesures permettant d’améliorer la prévention et la prise en charge des victimes, mais aussi l’amélioration du traitement judiciaire du harcèlement, aujourd’hui reconnu comme un délit. Depuis 2023, ce dispositif s’inscrit désormais plus largement dans un plan interministériel de lutte contre le harcèlement. Ce dernier a également été accompagné de nouvelles mesures très concrètes comme le bannissement des cyberharceleurs sur les réseaux sociaux, la création d'équipes académiques de lutte contre le harcèlement ou encore l’exclusion de l’élève harceleur. Au cours de cette réunion, Monsieur Christophe CHAMPEAUX a pu présenter l'action de la Direction de services départementaux de l'Éducation nationale du Val-d’Oise et de l'Académie de Versailles, particulièrement engagée dans le déploiement du plan pHARe. En complément, Madame Lucie PITIOT a présenté de façon concrète la façon dont le dispositif pHARe permet aux établissements de mieux identifier les situations de harcèlement, avec une réponse rapide et collective de la communauté éducative. Enfin, les représentants des associations ont partagé les actions, notamment de sensibilisation, qu'elles mènent dans les établissements scolaires pour prévenir et alerter les jeunes sur ces situations de harcèlement. Association Résiste : les membres de l'association se rendent dans les établissements scolaires pour échanger avec les élèves et enseignants afin de les sensibiliser sur les situations de harcèlement scolaire. https://associationresiste.fr/ Jeune & engagé : avec des intervenants (experts juridiques et animateurs) l'association se rend au devant des enfants, et dans le cadre d’ateliers de mise en situation de procès mineurs basés sur des cas jugés en TPE et les sensibilisent aux conduites à risques dans et aux abords des écoles susceptibles de les conduite pénalement devant un tribunal. https://jeuneetengage.org/ Madame la Députée remercie la commune de Herblay-sur-Seine pour la mise à disposition de la salle, les intervenantes et intervenants, ainsi que l’ensemble des personnes présentes.

  • Risques naturels majeur en Outre-mer : la commission d’enquête rend son rapport

    Ce lundi, la commission d'enquête sur la gestion des risques naturels majeurs dans les territoires d’Outre-mer a rendu son rapport et officiellement clôturé ses travaux. Principalement situés dans la zone intertropicale, nos territoires ultramarins sont particulièrement concernés par les risques naturels (tornades, séismes, cyclones, glissements de terrain, inondations). Constituée en décembre 2023, cette commission d'enquête, dont Cécile RILHAC a été secrétaire, a été chargée d’évaluer la gestion des risques naturels dans les collectivités d'Outre-mer, en recensant l’ensemble des dispositifs existants pour protéger les populations, l’habitat et les infrastructures, ainsi que la biodiversité dans ces territoires particulièrement exposés et vulnérables. Pendant près de 6 mois, les membres de la commission d'enquête ont ont auditionné pas moins de 160 personnes au cours de 46 auditions et tables rondes : des experts et chercheurs de diverses disciplines et spécialistes des risques naturels, des représentants des principaux établissements chargés de l’observation et de la surveillance des risques (Météo-France, Institut physique du globe de Paris, Observatoires volcanologiques et sismologiques, Bureau de recherches géologiques et minières notamment), des associations d’élus, de protection civile (comme la Croix-Rouge française), des représentants des forces armées en outre-mer, du système de santé (agences régionales de santé, centres hospitaliers), du secteur du logement, du secteur des assurances ainsi que des opérateurs de réseaux. Les spécificités de chaque territoire ont pu être appréhendées à travers des tables rondes auxquelles ont participé les préfets, les services de l’État, les services d’incendie et de secours ainsi que des représentants des collectivités et d’associations locales. La commission d’enquête a clôturé ses travaux en auditionnant l’ancienne délégation interministérielle aux risques majeurs Outre-mer (Dirmom), les administrations centrales en charge de la gestion et de la prévention des risques naturels, ainsi que le Ministre de l’Intérieur et des Outre-mer Gérald DARMANIN et le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoire Christophe BÉCHU. Au cours de leurs travaux, les parlementaires se sont penchés sur la connaissance des risques naturels majeurs dans les Outre-mer, leur prévention, leur gestion opérationnelle et enfin sur les enjeux post-crise liés à la reconstruction. À l’issue des travaux et à travers 55 recommandations, la commission d'enquête a proposé des mesures supplémentaires d’anticipation et d’innovation afin d’améliorer les dispositifs existants en matière de financement, de prévention, de formation, de recherche et d’organisation des secours. Ces propositions viennent en appui des dispositions spécifiquement prévues pour les Outre-mer dans la Loi d'orientation et de programmation du Ministère de l'Intérieur de janvier 2023. En suivant le lien ci-après, vous pourrez accéder à l'intégralité du rapport rendu par la commission d'enquête : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/rapports/cerisnatom/l16b2659_rapport-enquete.pdf Vous pouvez lire ci-dessous les 55 recommandations formulées par le rapport :

  • Cormeilles-en-Parisis : Vernissage des expositions sur le Commandant Kieffer et le crash du Bombardier

    Ce samedi 25 mai, Madame la députée Cécile RILHAC participait au vernissage des expositions sur le Commandant  Philippe KIEFFER et le crash du Bombardier Shopworn Angel à Cormeilles-en-Parisis. À l'occasion du 80ème anniversaire du Débarquement, la commune de Cormeilles-en-Parisis, organisait avec les associations Overlord, 80 ans de la Libération, CDT Philippe KIEFFER, et le Souvenir Français une série de temps forts pour célébrer cet événement historique. Cette exposition met notamment en avant l'histoire du Bombardier américain, le Shopworn Angel qui fut abattu par la défense antiaérienne allemande à Cormeilles le 28 mai 1944. Pour honorer les six membres d'équipage, un totem commémoratif a également été dévoilé plus tôt dans la journée, rue des Tartres.

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