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- Démission de Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique et solidaire
- Lancement d'un grand plan sur l’économie circulaire, dont les bénéfices environnementaux sont considérables, suivi par Brune Poirson. - Accentuation du débat sur la nocivité du glyphosate au coeur du débat européen, ramenant d’ores et déjà son usage de 10 à 5 ans en Europe, avec une sortie du glyphosate sous 3 ans en France. Cécile RILHAC rappelle que les députés de la majorité sont plus que jamais engagés dans la transformation du pays, y compris écologique, aux côtés du Président de la République, conscients des enjeux considérables et de l’attente de nos compatriotes. Mais il faut faire plus, beaucoup plus pour le climat, la biodiversité, l'environnement, la solidarité. Et changer de modèle et de priorités. Les combats continuent car l'urgence demeure.
- Loi pour un Etat au service d’une société de confiance : le texte a été adopté définitivement
Le projet de loi pour un Etat au service d’une société de confiance (ESSOC), plus connu sous le nom de « droit à l’erreur » entend développer une administration bienveillante, en phase avec les attentes de nos concitoyens, en passant d’une culture du contrôle et de la sanction à une culture du conseil et de l’accompagnement. Adoptée à l’Assemblée nationale définitivement en juillet 2018, cette loi entraine des changements significatifs dans les relations avec l’administration : Instauration d’un droit à l’erreur dans les démarches administratives Appels téléphoniques non surtaxés pour joindre l’administration Horaires d’ouverture élargis ou aménagés de certains services Mise en place de référents uniques Extension des dispositifs de médiation Pour que ce changement des textes devienne un changement dans les têtes, Cécile RILHAC a à cœur de mener un travail de suivi de la mise en œuvre de la réforme durant tout le quinquennat. Les débats à l’Assemblée ont été particulièrement riches. Ils ont permis de montrer que l’on peut légiférer de manière intelligente entre groupes parlementaires. Vous pouvez cliquer sur ce lien pour découvrir les 9 mesures expliquées par des exemples. Qu’est-ce que le droit à l’erreur ? Si un citoyen adresse, de bonne foi, une déclaration erronée ou incomplète à l’administration, il doit pouvoir la rectifier, spontanément ou au cours d’un contrôle, sans risquer une sanction dès le premier manquement. La charge de la preuve est alors inversée : il revient à l’administration de démontrer la mauvaise foi de l’usager, et non plus à l’usager de démontrer sa bonne foi. Le droit à l’erreur n’est cependant pas un droit à la fraude : celui-ci ne peut s’appliquer que si l’erreur a été commise de bonne foi par le déclarant. Sont donc exclues du droit à l’erreur : · Les fraudes · Les récidives · Les erreurs qui portent atteinte à la santé publique, à la sécurité des personnes ou des biens.
- L'allocation de rentrée scolaire commence à être versée
Les informations concernant les conditions d'octroi de l'allocation de rentrée scolaire ont été publiées lundi 23 juillet dernier. Pour information, cette allocation est destinée à soutenir les familles populaires face aux achats de fournitures scolaires pour leurs enfants. Depuis le 16 août, cette allocation de rentrée scolaire commence à être versée et sera en hausse par rapport à l'année dernière soit 367,73 euros pour les parents d'un enfant âgé de 6 à 10 ans, 388,02 euros s'il a entre 11 et 14 ans et 401,47 euros pour un adolescent de 15 à 18 ans. Pour en profiter, les familles doivent remplir un dossier auprès de la Caisse d'allocations familiales. Si l'enfant a plus de 16 ans, elles doivent en plus confirmer qu'il est encore scolarisé. L'attribution devrait être versée à 3 millions de nos concitoyens. Retrouvez plus d'information sur le site de la Caisse d'allocations familiales (CAF)
- Cécile RILHAC réagit à l'affaire BENALLA
Communiqué de presse Paris - Jeudi 19 juillet 2018 Cécile RILHAC a appris avec stupéfaction les faits relayés par la presse concernant Monsieur Alexandre BENALLA, collaborateur chargé de mission auprès du chef de cabinet de la présidence de la République, lors de la manifestation du 1er mai dernier. Ces faits sont d'une gravité inédite pour un collaborateur de l'Elysée qui a outrepassé ses prérogatives. Elle juge ce comportement inacceptable et indigne de la fonction qu'il occupe. Une enquête ouverte par le Parquet de Paris devra permettre à la justice de faire toute la lumière sur cette affaire. Aussi, Cécile RILHAC estime, au regard des faits, que Monsieur BENALLA n'a plus la légitimité d'exercer sa mission auprès de la présidence de la République qui exige de ses agents un comportement exemplaire. Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse
- Cécile RILHAC au Congrès de Versailles
Lors du Congrès réuni à Versailles, lundi 9 juillet, le Président de la République a rappelé le chemin parcouru en un an et dressé la feuille de route pour la prochaine année. Le président a d'abord voulu remettre les choses dans l'ordre concernant les réformes "non pas pour favoriser les riches comme on l'entend trop souvent mais pour favoriser les entreprises (...) une politique pour les entreprises, c'est une politique pour tous et non pas pour les riches." Le président a rappelé qu'il n'aimait "ni les castes, ni les rentes ni les privilèges ». En parlant de la pression fiscale et de redistribution, Emmanuel Macron énonce une vérité : "Si on veut se partager le gâteau, il faut d'abord qu'il y ait un gâteau ! " "L'Etat doit être un interlocuteur de confiance ", pour réduire la pression fiscale, l'Etat doit faire des choix au niveau budgétaire. Le Premier ministre annoncera prochainement de nouvelles décisions de réduction des dépenses publiques. Pour ma part, j'attends ces annonces qui doivent donner plus de souplesse pour les territoires et repenser la présence des services publics sur l'ensemble du territoire... Un autre sujet abordé : le travail. "L'émancipation passe aussi par le mérite et le travail". Les réformes en cours doivent permettre, en même temps, le progrès économique et le progrès social. Le président souhaite ainsi construire " l'Etat providence du 21ème siècle". Un état qui n'assiste pas, en laissant les gens pauvres dans la misère, mais un état qui aide à sortir de la pauvreté. Il rappelle ainsi que le système de protection sociale repose sur le principe de solidarité. "Tout le monde doit être protégé mais chacun a sa part de responsabilité ". L'un des objectifs des réformes est donc de permettre à chacun de prendre ses responsabilités vis-à-vis de la société et de participer, chacun à son niveau, à la solidarité nationale. Ainsi, concernant les retraites et la future réforme, le Président, une nouvelle fois, fait un rappel : la solidarité générationnelle. Les actifs payent pour les retraites en cotisant sur leur salaire. "Cette cotisation n'est pas un droit à la retraite" mais bel et bien un acte de solidarité. Il annonce donc la prochaine réforme des retraites avec une refondation du régime de retraite, en supprimant les quelques 40 régimes coexistants actuellement en un unique...afin de protéger ceux qui auront eu des carrières plus "hachées ", plus chaotiques, plus fragmentées..."bien souvent les carrières des femmes." Une fois encore cela repose sur la notion de solidarité nationale et intergénérationnelle. Je finirai par les propos sur la restauration de l'ordre et du respect républicain qui passe par une reconnaissance partagée des droits et des devoirs qui fondent la République. Cela passera par : la police du quotidien la réforme de la procédure pénale l'autorité de la République à faire respecter les règles en toute équité la lutte contre le terrorisme la formation des enseignants sur la laïcité l'égalité femme-homme «La laïcité doit être la garantie à chacun de la liberté de croire ou de ne pas croire. Aucune mise en cause de ces principes ne peut être acceptée sur le fondement d’un dogme religieux." Un accès à la culture par l'école sur tout le territoire. Je retiendrai ces 2 phrases: "Nous ne pouvons tout réussir, mais notre devoir est de tout tenter!" Et n'en "déplaisent aux partisans de l'immédiat, ce que nous faisons aujourd'hui nous le faisons pour notre jeunesse." Je continuerai donc à travailler afin que ces propos ne soient pas de veines promesses mais deviennent la réalité, en restant très attentive au respect des principes de solidarité, de l'environnement, du principe de laïcité, de la lutte contre les discriminations.
- En mission parlementaire à la Martinique sur les discriminations en Outre-mer
Aussi, Madame RILHAC tient à remercier l'ensemble des acteurs rencontrés pour ces discussions, ces exposés et ces échanges de point de vue. Un travail auprès de gens de terrain et des recueils de témoignages qui sont toujours des instants précieux.

